Je contemplai la lune qui était pleine et qui éclairé le ciel de la nuit noir, j'avais pu vider mon esprit et en même temps me réveiller complètement. J'avais donc un léger sourire au lèvre, et je décidai de ne pas m'éterniser ici. Je me retournai, et vis Moon accompagné d'un jeune homme, il me semble l'avoir déjà vu mais son nom mes inconnu. Après les avoir tout de regardai d'un air observateur, je leurs souris. Je fis un léger signe de la main a Moon, tout en m'adressant a elle.
- "Passe une bonne soirée Moon, j'avais faillis oublier le jeune homme qui l'accompagner, et a toi aussi."
Je leurs souris amicalement, avant de leur laisser le balcon. Je sortis donc tranquillement, je réajustai ma frange d'ou une mèche était partis n'importe ou. Heureusement le reste fut intacte, je commençai donc a marchai calmement, tout en fessant tourner mes bagues. Puis je m’arrêtai, lorsque qu'une musique pour ainsi dire nul se fit entendre, ce qui me fis rire légèrement a l'intérieur bien évidemment. Je n'y accordai pas trop d'importance, voyant que des filles s'en occupaient. Je me mis alors contre un mur, les mains derrière le dos ... Un doux sourire alors se dessina sur mon visage ...

[ Franchement, Koko, j'admire tes gouts musicaux xD ]

Wellan me fit alors valser merveilleusement bien. Il était un très bon danseur, et ayant pris des cours dans mon enfance, je ne me débrouillais pas trop mal. Je suivais chaque pas, coordonnant mon rythme au sien. Il me dévorai du regard et je dois avouer que ça me plaisait beaucoup.
- Quel honneur Demoiselle, j'espère juste que tu ne seras pas offensé si je te laisserais pour une danse ou deux! Car tout bon garçons doit libérer sa partenaire de temps à autres, de plus, il faudra bien que je fasse danser Aries! Je l'ai vue s’éclipser vers l'un des balcons! Et il y aura le quart d'heure ou l'on doit inviter une fille que l'on ne connait pas!
- Mais bien sur ! Je sais partager tout de même, souris-je d'un air amusé.
Il me fit tournoyer et ma robe suivis ma démarche dans un reflet bleu, mes cheveux balayant l'air. Je revins vers lui sur les dernière notes en l'enlaçant amoureusement, un sourire étalé sur le visage. Il déposa un doux baiser sur mon front et me fis un clin d’œil charmeur. Les dernières notes résonnèrent, puis la musique se tut, pour enchaîner sur une autre. J'embrassai Wellan tendrement, comme on étreint une chose précieuse, sombrant dans les nuages de ces instants unique qui nous brouille la sensation d'être sur Terre. Puis je reculai sans lui lâcher la main:
- Allez, va rejoindre Aries avant qu'elle ne commence à s'ennuyer !
J'eus un léger rire. Je fit encore quelques pas en arrière tendant mon bras au maximum, puis mes doigts se décrochèrent de ce de mon cavalier et je disparus dans les danseurs en souriant.
J'avais la flemme de chercher quelqu'un avec qui danser. Je me laissai donc guider par mes jambes, qui m'emmenèrent de nouveau dans le canapé, refoulant ma fatigue et mon ennui qui débarquait du fait que je me retrouvais de nouveau seule, je pris l'initiative de fixer le vide, action presque intéressante... La musique qui passait et qui faisait rire tout le monde, je ne l'entendis même pas, perdue dans mes pensées.

« Tu est entrain de gâché la soirée de beaucoup de monde, et je ne trouve pas cela très sympa. Si tu t'ennuyais il fallait t'en aller, au lieu de pourrir cette soirée qui était très agréable pour les autres.Tu n'a vraiment aucune gêne de gâchée cette soirée? Je pense que les autres seront d'accord si tu avait une heure de colle pour cela! »
« Vous allez bien Aiko ? »
Sympa, la musique !

*La rousse sèche ses yeux, un sourire espiègle aux lèvres. Elle se prends pour qui, celle qui vient lui faire la morale ? Aiko réponds d'une voix enjouée ;*

-C'est ça, ma grande.

*Elle meurs d'envie de tirer la langue. Oui, elle n'en a rien à faire, de sa petite leçon de morale, à la "tu te rends compte que tu n'est qu'une pouffiasse ?". Mais ce geste lui paraît beaucoup, beaucoup trop enfantin. Alors, elle se contente de laisser son sourire sur son visage. Puis elle tourne son buste vers Cielle, et réponds gentiment ;*

-Hmm, ça va. J'ai un peu... La tête qui tourne. Mais ça va.

*Elle fronce les sourcils, puis se relève en s'aidant du bureau où est posé le poste. Elle vacille, et s'effondre dans une chaise à proximité. Elle s'évente de sa main, l'air perdu.*

-Mais, euh... Je n'ai pas choisi la musique. Bien que je la trouve marrante, je l'ai mis au hasard.

*Le hasard est un sacré farceur, et Aiko as comme un goût amère dans la bouche. Elle prendrai bien un cachet d'aspirine, tiens. Ou un verre d'eau. Mais une question trotte dans son cervelet : "qu'es-ce qui m'a pris ?"*

(Désolée, c'est un peu court, même beaucoup trop, mais je dois aller manger :/
Et je sais, Moon, mes goûts musicaux sont les meilleurs :P.)

« J'avais un peu mal à la tête ce matin, j'ai prit ceci, ça m'a fait du bien. Prennez-en, si vous le voulez. »

*Aiko sourit amicalement à Cielle. Cette fille lui plaît bien, elle a toujours été gentille avec elle, et, de plus, elle est jolie. Le genre de personne impossible à ne pas apprécier. La main pâle de la rousse attrape le cachet, en soufflant timidement ;*

-Merci beaucoup...

*Elle avale l'aspirine avec un air soulagé. Après tout, elle a fait une connerie, elle s'en rend bien compte. Mais bon, ça a un peu éclairé sa soirée. Tant que des personnes hautement qualifiées ne viennent pas lui chercher des noises... Elle se frotte un oeil. Ne pas porter son grand chapeau lui semble une aberration. Doucement, elle chantonne sur l'air de la musique qui passe au poste. Balistooooo. Un sourire d'un autre type se peint sur ses lèvres, et son visage cadavérique reprends quelques couleurs. Voilà, elle est redevenue joyeuse. Elle murmure, l'air dans le vague ;*

-J'ai bien envie d'un Twix... Vous aimez bien, vous ?

*Rien que d'y penser, les yeux océan de la rousse brillent. Puis, elle secoue négativement la tête, et reporte son attention sur les filles qui sont dans la salle. Cielle, Elyra, et la fille à qui elle a fait un signe tout à l'heure. Elle leur offre un sourire enfantin. Pas de garçon atrocement sexy, mais enfin, la vie est belle. Aiko saute sur ses pieds, et en voyant quelques étoiles blanches danser devant ses yeux et ses pieds nus glisser un peu sur le sol, elle se promet silencieusement de ne plus toucher un seul verre du "liquide bizarre" qu'elle a bu tout à l'heure.*

Belle vue... Il regarda Moon dans les yeux, puis dirigea son regard vers le paysage. Il admiré le Lac, qui grâce à la Lune, brillait de mille éclat, puis le parc, vide, forcement... Tu peut garder des secrets? Il avait prit un air soudainement sérieux. Il attendit calmement la réponse de Moon. Il avait besoin que quelqu'un d'autre le sache, et cette autre personne, il voulait que ça soit Moon. Peut être, qu'il le dira à d'autre personne.Mais là, non...

J'en ai aucune idée. Personne ne m'a jamais confié de secrets, alors je sais pas si je suis vraiment digne de confiance. Après, c'est à toi de décider si tu me l'accordes ou pas. Elle était un peu distraite. Désolée, j'étais perdue dans mes pensées... Enfait, avec moi, les secrets son plus ou moins bien gardés. Y a pas grand monde à qui je pourrai les réveler, alors voilà quoi. Mais je suis tout sauf courageuse, alors il est plutôt facile de me faire avouer quelque chose. Il mit ses main derrière la tête, J'ai confiance en toi...Il détacha son cache-oeil blanc, qui, doucement tomba comme une feuille au sol... Laissant alors voire, un oeil blanc, parsemé de signe Coréen. Tu voit, tant que je cache cette oeil, je peut contrôle mon pouvoir, mais si il se retrouvait au contacte de la lumière du jour... Je ne contrôlerait plus rien. C'est une des raisons pour lequelle je le cache... Il s’arrêta puis ramassa le bout de tissus blanc. Puis reprit en le rattachant. Si quelqu'un de malsain l’apprenait...Je risque de.....

« Ce que vous avait fait m'a remonté à bloc le moral, Aiko ! »

*Le sourire de la rouquine s'agrandit. Il y a des lustres qu'on ne lui a pas dit qu'elle a fait quelque chose de bien. Elle se sent joyeuse. Seul un problème s'impose à son esprit ; "remonté" le moral ? Qu'es-ce qui n'allait pas, avant ? Elle a un air un peu préoccupé. Finalement, elle n'était pas la seule à s'ennuyer ? Le poste, sur le bureau, émet un bruit métallique, et la musique reprends depuis le commencement. Il y a vraiment quelqu'un qui a gravé plusieurs fois la même chanson sur un même CD ? Impossible.*

-Pourquoi, tu n'était pas bien, avant ?

*Ah, le cerveau de la rousse n'avait pas oublié l'interrogation qu'elle se posait il y a quelques instants. Chose rare, d'ailleurs; il lui arrive bien plus souvent d'oublier toutes sortes de choses importantes, plutôt que de s'en rappeler. Le regard de la jeune fille est posé sur Cielle, mais ce n'est pas un regard impatient du genre "répooonds, répoonds!", non... Plutôt une sorte d'air mélancolique. Comme si on tournait les rouages de ses pensées, la rousse semble soudain réaliser quelque chose de très important.*

-Tu... Peux me tutoyer, hein.

*Une fois qu'elle a prononcé ces mots, elle tire une tête étrange, joyeuse et perdue à la fois. Plus lunatique, tu décède. Elle est déjà passée à une autre expression, un autre sentiment...*

Après voir danser avec Ilke il alla rejoindre Cielle.Il l'avait rencontré dans la serre..se rappellant qu'elle aime les rose,il fit apparaître six rose jaune dans un bouquet blanc.Il sourit et les tendit a Cielle.
-Pour vous mademoiselle.

Il sourit.
-Mais de rien.Et oui mon prénom est Dimitri.
Il n'en voulait pas spécialement a Cielle...mais bon ...
-Vous voulez bien venir dehors avec moi ? J'aimerais vous parler.
Cielle lui plaisait bien mais ce n'était pas de sa qu'il comptait lui parlait.

« L'histoire est tellement longue... Comment vou... euh... t'expliquer, Aiko ? En fait, je ne vais pas si mal que cela, tu sais. J'avais juste besoin, d'u... d'un truc, quoi ! C'était pour être à fond ! Vraiment, c'est une très, très longue histoire. »

*Aiko hocha la tête en guise d'acquiescement. Puis elle regarda, un sourire en coin peint surs ses lèvres pâles, Cielle partir avec un garçon. Qui venait de lui offrir une rose. Amuse toi bien. Elle se promit intérieurement de questionner Cielle sur deux choses; sa longue histoire, et ce jeune homme. Elle le ferai, oui. Un autre jour. Là, elle avait sommeil. Elle voulait reposer sa tête de toute cette agitation, ce bruit... Finalement, elle avait raison. Un bal n'est pas un bal si l'on ne peut pas danser au bras d'un cavalier. Une cavalière, à la rigueur. Et il n'y avait dans la salle aucun jeune homme qui ait attiré son attention. Tant pis. Son sourire s'étire sur ses lèvres. La soirée n'était pas non plus un désastre.
Elle ferma les yeux un instant. Un instant de trop. Toujours assise dans la chaise du bureau, elle s'était endormie. Cette chaise, d'ailleurs, était vraiment confortable. Ce qui lui permit de dormir paisiblement jusqu'à la fin de cette soirée. En rêvant de toutes sortes de choses sans aucun rapport.*

D'un air tranquille..il alla voter.
Il écrivit :Tomohiko et Yuki

Ces deux-là avait brillé a la soirée...enfin pour lui.

La voix du directeur s'était une nouvelle fois fait entendre dans la salle afin de nous annoncé que les élections pour le Roi et la Reine de la soirée avaient officiellement débuté! Je me levai donc et me dirigeai vers les petites cabines, apparues comme par magie près du buffet, entourés de rideaux bleu nuit, pour ne pas cassé avec le décor. Une fois à l'intérieur, coupé du monde extérieur, j'écrivais lisiblement deux nom et ressorti, joyeuse. Je retournai m’asseoir sur une chaise en attendant les résultats des votes, impatiente.

[désolé pas le temps d'écrire un roman!]

Hs : Mouaha, mattez le pavé :B

Je courrais comme une folle, dans l'espoir d'arriver à temps. Espoir illusoire, j'en avais conscience. Le sang rugissait à mes oreilles, et j'étais presque à bout de souffle. *Mais merde, quelle conne !*, m'insultai-je mentalement. Tout était de ma faute, et le fait de ne pouvoir blâmer personne d'autre que moi me frustrait presque autant que mon retard.
Le matin, en me réveillant, j'avais éprouvé une sensation d'étouffement, d'enfermement, à cause de l'académie. Je haissais désormais la couleur bleue omniprésente. Partout où mes yeux se posaient, cette maudite teinte me rappelait ma condition et les raisons de ma présence ici. J'étais enfermée dans une nuit opaque et sans étoile à chaque fois que je traversais les couloirs des bâtiments. À chaque fois que je me retrouvais dans ma chambre. À chaque fois j'entrais dans une salle. Si je ne sortais pas, j'allais pêter les plombs.
J'avais donc décidé, en me levant, de sortir le plus loin possible hors de l'académie. Je m'étais vêtue le plus pratiquement possible et le plus légèrement possible, préparée à une longue marche. J'avais prévue de revenir juste à temps pour me changer avant le ball. Pour plus de précaution, j'avais activé mon "pouvoir", et étais partie sans avertir personne. J'avais marché longtemps, le plus longtemps possible. Le paysage était toujours le même : une campagne banale et paisible, mais sans aucune habitation allentour. Je m'étais finalement couchée dans un champ, et avais fermé les yeux, bercée par le bruit du vent. Je m'étais doucement endormie... et m'étais réveillée plusieurs heures beaucoup plus tard, par les gargouillements de mon estomac.
Et maintenant, je courais, je courais, impressionnée par ma stupidité. Evidemment, que j'allais m'endormir ! et maintenant, il était bien trop tard ! Je priai pour que la soirée ne soit pas terminée, mais mes espoirs étaient teintés de résignations. J'arrivai à bout de souffle devant la salle des fêtes, qui par bonheur était encore allumée. J'entendis la voix du directeur, un peu assourdie par les murs de la pièce:
-Maintenant que tout le monde est finalement arrivé, je vous invite à voter pour les personnes que vous désirez voir élues Roi et Reine de la soirée. Vous pouvez voter dans les bureaux de votes situés près des buffets. Je dois vous avouer, chers élèves, que j'ai hâte de connaitre votre choix !
Je stoppai net devant la porte. J'étais donc bel et bien arrivée trop tard. Le vote signifiait que le ball était finit. J'eu subitement envie de retourner me coucher, et de ne jamais me réveiller. Je tentai de réprimmer la boule de déception qui m'obstruait la gorge, et décidai d'entrer quand même, ne serait-ce que pour me remplir le ventre.
Je tournai tout doucement la poignée, et la porte s'ouvrit en grinçant. Encore cette agaçante et étrange spécialité qui m'empêchait d'être discrète... Être invisible mais quand même repérable, quelle plait ! J'allai me diriger vers les buffets, lorsque je remarquai que des cabines de votes -bleus, à ma plus grande horreur - étaient disposées jute à côté. Bien évidemment, l'endroit grouillait et fourmillait de monde, et je renonçai à m'en approcher, reculant tout contre un mur comme une bête aculée. Affammée, dégoutée, et condamnée à mourrir de faim et d'aghoraphobie. décidément, j'étais maudite.