Désolé pour l'attente, privé d'ordi jusqu'à la fin du brevet.

Arrivée pour le moins dangereuse

Tu te dis qu'arrivé là-bas, soit tout deviendra compliqués soit tout deviendra simple. Mais toi, tu te mens toi même, tu te leurres minablement en pensant que rien ne va changer. Et pourtant tu ne t'imagines même pas qu'à ta première action tu vas déclencher ce qui est une habitude chez toi et que encore comme d’habitude tu le prendras de la même manière. Finalement tu as raison rien ne va changer dans ton monde pour le moment. Ce qui à le don de t'agacer terriblement. Pour une fois, tu aurais aimé autre chose que la banalité et le gout du quotidien répétitif.

Toutes ces petites pensées se remuent dans ta tête, tu aimerais bien les chasser, mais depuis que tu as posé le premier pas te menant à l'académie, tu n'y arrives pas. Tu n'y arrives plus ... Tu regardes à droite puis à gauche, et tu avances, tout droit sans jamais t'arrêter, tu te dis que pour le moment tout ce passe pas comme d'habitude. Tu passes devant des gens, il ne se passe rien, du coup tu ne dis rien. Tu continues d'avancer, il ne se passe toujours rien à ta grande surprise. Tu pousse la porte menant au hall, à partir de là un détail chez toi qui ne changera jamais t’empêche d'avancer plus loin. Ton sens de l'orientation plus que médiocre. Tu regardes à nouveau à droite puis à gauche. Tu oses avancer de quelques mètres, mais ces quelques mètres que tu parcours de rapproche d'une sorte de panneau d'affichage sur lequel tu vois un plan de l'établissement accrocher.Tu le regardes méticuleusement, mais tu ne comprends rien. Et là, juste à ce moment ton quotidien, ta banalité reviennent.

Sous le coup de l'incompréhension totale devant un plan. Ça t'agace et tu accomplies un geste pourtant fréquent pour toi: Tu mets le feu au tableau d'affichage. Aucune inquiétude ni surprise se lis sur ton visage. Aucun risque de même de cours l'académie, les flamme bleu de Shu sont différente des flammes normal. Elles brûlent de l'intérieur et ne s'étalent pas. Le tableau disparaît et tout ce qui était accroché dessus aussi. Ne reste plus que de cendre. Voila celui qu'on appelle ton don: le Phénix Bleu. Qui pour toi est définitivement maudit.

Et là n'est pas la fin, non comme d'habitude tout le monde te regardent avec de grands yeux, comme s'il ne connaissaient pas l'existence de la magie. Ce qui à le dont de t'énerver pus que tout. Tu aimerais que tout ça change et pourtant tu ne fais rien pour. Tu continues en réagissant de la même manière. Tu poursuis ton chemin banal.

«C'est simple si vous ne voulez pas finir comme ce tableau, ne me fixez pas au mieux ne m'approchez pas. Compris ?» ordonna t-il d'une voix claire.

Pendant que je cherchais encore une fois ma chambre. Pour prendre mon violon et mes partitions cette fois. Je réfléchissais à la réponse d’une question, que seules les filles peuvent se poser.

Comment, lorsque nous sommes dans une académie, comme Lunacy Avenue, peut-on faire du shoping ?!? C’est vraie quoi ! Comment les pensionnaires font-ils quand ils cassent leur magnifique montre !?!

Les montres, ah… les montres. Ces petits bijoux de technologie. A bien y penser, comment faisaient les Mayas ? Eux n’utilisaient pas de montre mais des cadrans solaires (je préfère quand même les montres c’est plus beau !)!! Autant dire que le calcul du temps a toujours fasciné l’Homme. Eh bien moi, ça me fascine aussi. Celui qui a inventé la montre moderne est un génie (à mes yeux tout du moins). Il y a toutes sortes de montres, c’est cela fait naître en moi un désir fou de toutes les posséder. Les montres à goussets sont mes préférées, de plus je les trouve très classes et chics ! Elles donnent fière allure… Bref je perds le fil de mon histoire, et je me perds dans mes passions…

Revenons donc. Comment faire pour ravoir une montre alors que nous sommes dans une académie sans boutiques ? Moi je ne rencontre pas ce problème. Eh oui, contrairement aux pauvres personnes qui ne peuvent plus avoir le plaisir de lire l’heure, je peux me dessiner une montre et la matérialiser à mon poignet. Aussi simple qu’un « pouf ». C’est ce que je fis il n’y à pas si longtemps que ça d’ailleurs…

Ou encore, comment font les gens qui sont en manque de sous-vêtements ?!? Comme moi ! Je suis en grosse pénurie de chaussettes !!! Je lance un appel à toutes les chaussettes qui ont fuient mon armoires ! Si vous en trouvez avec de gros trous et qui partent dans le sens opposé de la chambre C, c'est les miennes!! N’hésitez pas à me les ramener. Ce serais très gentil.

C’est avec ces questions existentielles que mes pieds me portèrent jusqu’au hall d’entrée. Ce n’est quand glissant sur…. Un truc glissant non identifié, que je vis ce que tout le monde regardait. C’est-à-dire, un tableau d’affichage réduit en cendres, avec un jeune homme juste devant. Et horreur, dans mon déséquilibre, je fonçais droit dessus !! J’entendis quelqu’un rire dans mon dos. Je m’efforçais de retrouver l’équilibre alors que mes bras (un avec mon violon, l’autre tenant mes partitions) battaient comme pour prendre mon envole.

Par chance je réussis à le retrouver, ce satané équilibre, juste à quelques centimètres de l’homme qui venait de faire disparaître le panneau d’affichage, et, apparemment, de proférer des menaces… Entre temps, j’avais perdu des partitions, qui revinrent se déposer sur ma tête, comme pour signer mon entrée et mon statut de psychopathe échappé de l’asile.

Folle de rage je parlai tout haut :

« -Je vais tuer celui qui a fait ça !!!!! Non mais pour qui il se prend ! Tu l’as vu toi ?!? …»

M’écriais-je sur l’homme en face de moi. Quoi ?!!? Un homme !?!?!?Mon cœur s’emballa et mon visage afficha une expression d’angoisse. Allais-je subir le même sort que ce pauvre panneau ?! Allais-je encore une fois me faire torturer par ces monstres appelés « hommes » ??

Alors j’entendis :

« -Dis-moi... crois-tu que tu peux me donner la raison de ton acte? »

Encore un autre ?? J’étais finie…

Citation :

Désolée du retard, en ce moment j’ai trop pleins de trucs à faire, je suis pas très souvent chez moi ^^’ D’ailleurs je ne serais pas chez moi à partir de demain jusqu’à dimanche >< Encore désolée !
+ Je SAIS qui tu es, « Shu » 8D ! Pfufufu… Mince, moi aussi j’écris à la deuxième personne, ça va être bizarre à suivre 8O

Mais non Nezumi, tu verra ça va être facile à suivre ^^
En plus j'aime beaucoup cet rp o/

Spoiler:

Tu le fixes sévèrement. Pas question qu'il pense que tu dis ça à la légère, ou que ce n'est pas grave. Et là, il murmure ton prénom. Pas Nezumi, celui que tu portes en ce moment, mais l'autre. Le vrai. Tu lui lâches brusquement le bras. Pour le coup, l'envie de sourire te passe sur le champs. Tu aurais plutôt envie de l'étriper. Même si tu sais que ce n'est pas de ta faute. Tu n'as jamais pensé à lui dire de t'appeler autrement. Pas envie de devoir te justifier ensuite. Et plus simplement, tu n'y avais pas réfléchi. Maintenant, il ne te reste plus qu'à espérer que personne d'autre que toi ne l'a entendu.
Maintenant, c'est au tour d'Aries de le gronder. Tu n'interviens pas. Il le mérite, et ça lui fera surement du bien de se faire rabrouer. Son acte était complètement stupide, il a perdu les pédales. Même sous le coup d'une provocation, son geste était complètement stupide. Il baisse la tête, serre les poings et prend la parole :
« Je suis vraiment désolé... Je n'ai pas prit compte de la va-valeur des choses... Je-je sais combien ça fait mal qu-quand un proche est mal en po-point... Je suis désolé... Pardo-donne moi, je vois qu'il co-compte pour toi... , s'excuse-t-il, en bégayant. »
On dirait un gamin prit en faute, qui sait très bien qu'il a fait une connerie. Ce côté « enfant perdu » ne t'étonne pas vraiment. Tout comme toi il a eu une enfance difficile. Plus que ça même. La différence, c'est que toi tu t'ai créé une carapace pour luter. Lui non.
Tu soupires. Il a commencé en très mauvais termes avec un type qui a l'air puissant. Pas terrible. Remarque, Jun semble posséder un pouvoir dangereux. Tu te souviens comme il avait honte quand il te l'a dit, lorsque que vous vous êtes présentés. Mais pour l'instant, il va falloir qu'il se fasse petit. Tu n'as pas envie qu'Aries te tiennes rigueur de ce qu'il s'est passé, ou même à Jun. Tu ne comprends toujours pas ce qu'il lui a pris. Ça ne lui ressemble absolument pas.
« Jun, qu'est-ce qui s'est passé ? Pourquoi ce comportement de crétin agressif ?, demandes-tu, perplexe. Hum, je suis désolée de ce qui s'est passé, je n'ai pas tout suivi mais d'habitude, ce garçon sait se tenir. »
Tu te tourne vers Shu et Aries pour cette dernière phrase. Malgré son comportement emporté et parfaitement nul, tu n'as pas envie que Jun passe pour un enfoiré. Ça va être difficile à rattraper...

J'aurais adoré te torturer Andouille 8D Mais je suis aussi désolé que toi, donc pardon pardon pardon. Me tuer pas !

Arrivée pour le moins dangereuse

Tu es rempli de rage, rage tu tu évacues dans un premier temps en écrabouillant sa main. Dans un second temps, tu commences enfin à te calmer encore grâce à elle. Tu es vraiment un incapable et pathétique mec. Tu avais complètement oublié la couleur de ses yeux. Tu sens la chaleur de sa main et son souffle. Tu ne peux vraiment pas te débrouiller tout seul. Tu as constamment besoin de ta ... de ta ..Même le penser tu as l'impression qu'on t'enlève toute dignité. Ta protectrice. Oui la petite protège le grand, et alors ?

«...Merci ... okay ...C'est bon j'suis plus un gamin je sais comment respirer !»

Franchement tu l'adore et la déteste en même temps, c'est possible n'est ce pas ? Même lui dire merci ne tient jamais plus de deux secondes avec toi. Tu aimerais être gentil, au moins avec les gens qu'ils le sont avec toi. Donc elle. Mais si tu ne peux même pas être gentil avec celle qui te ...Te protège tu ne pourras l'être avec personne. Terrible ton destin. Mais bien sur, tu t'en moque plus qu'autre chose.
Hé hé, tu n'es pas le seul à recevoir une correction c'est au tour du ptit blanc bec. Tu remarques alors que tu dois vraiment passer pour un gamin quand Aries te chaperonne ou te fais la morale. C'est clair et net, tu détestes ce mec, rien à faire de ses plus plates excuse. Vous ne connaissez ni l'un ni l'autre du rang du mot stable. La prochaine fois que tu le vois tu le buttes. ....Mais ..Mais, il se retient de chialer là, où tu as encore des hallu' au fait qu'il t'a étranglé il y a même pas cinq minutes. Ce gamin est trop bizarre pour toi si tu récapitules, il a fais le courageux avant de faire la poule mouillé, puis le meurtrier et maintenant en mode pleurnichard .. Il est bizarre.
Pff, Aries ne devrait même pas perdre de temps avec lui, même si maintenant c'est la petite blondinette qui te cherche en dirait. Mais tu te tais, tu as encore mal à l'épaule gauche, elle n'est pas aller de main morte, et puis en dirait aussi qu'elles se connaissent. Double raisons pour ne pas aller chercher emmerde.

Pour le moment, ton sens de l'orientation n'a pas augmenté il est toujours à moins mille. T'es fatigué, déjà que ce gamin t'as fais perdre de temps inutilement ... Tu soupires, encore, tu n'en a pas assez ? Oh mais elle, elle est pas nulle en orientation. Ma parole tu as toujours besoin d'elle à ton grand malheur. Parce ouais pour toi c'est un peu humiliant, et pourtant on le ne dirait pas du tout. Au contraire, on croyais que tu profites.

«Dis Princesse quand tu auras fini de gronder le môme, on se casse. Il faudrait que tu me montres où se trouve les dortoirs.»