Bon, bah qu'en on s'ennuie, on improvise... Personnellement quand je m'ennuie j'écris quelques poèmes de temps à autres. En voici quelques uns.

Ombre de l'espérance

Que n'est ce que cette espérance,
Que celle qui marche sous mes pas
Peu à peu, comme le vent, elle s'avance
Créant autour d'elle ce rythme en fracas

Les vagues de l'espoir sont grandissantes
Et se feront au fil du temps ravageantes
Mais pour l'instant elles n'en sont que grandes
Et resteront fidèle à cette nouvelle espérance

Oui, l'espoir s'avance de jours en jours
Restant aggripé autour de chacun
Chassant le noir comme le vautour
Elle reste collée au bras des uns.

Il y aura toujours ces vipères
Porteurs d'un poison de désespoir
Plongeant le monde de le profond du noir
Afin d'abattre cette éternelle lumière.

Mais elle n'en restera que reine,
Tel que l'on est rien sans elle
Reine de la vie, reine de l'éternelle
Cette espérance qui s'empare de nos peines

Pour celui ci, le rythme n'est pas tenue c'est volontaire (je l'ai écris rapidement et j'ai bâclé la fin) je n'aime pas le dernier paragraphe, donc peut être le refaire ou alors en rajouter un.


Petite lumière,

Je me souviens de toi, de tes rires.
J'étais ton grand frère protecteur
Et toi, douce soeur si fragile,
Petit ange aux ailes de bonheur.

Tu étais une petite lumière,
Petite lumière de paix et d'humour,
Tu étais notre petite reine,
Une lumière avec un regard d'amours,

Avec tes grands yeux moqueurs
Ton sourire si beau, si enchanteur
Tu as su si bien nous charmer
Par peur qu'on puisse t'oublier...

Et ce triste février 2007,
Tu as emporté tes secrets, tes rêves
Tu nous as privés de ton sourires,
De ta merveilleuse joie de vivre...

On t'oubliera pas, petite lumière...

Un poème simple que j'aime beaucoup, réalisé il y a quelques années.

Voilà! J'en posterai d'autres plus tard!

Braises de flammes

Douce étincelle que de la voir se fleurir
Petite lumière au milieu des braises,
Dont les enfants veulent souvent cueillir
Celle, qui au départ petite, grandit à son aise.

Une étrange lueur si fine, qui dès son entrée,
Dans ce monde de mystère, de froid, et de danger
Risque sa vie, à cause du premier et seul souffle
Dangereuse aussi, cette innocente et petite goutte

Mais, rancunière alors elle grandit,
Petite flamme te voilà grande, géante,
Suite à ce petit bois précieux fournis
Et grâce à ta morsure tu tiens ta revanche!

Brûlante pour la nature verte et abondance,
Petite étincelle de bel espoir et de confidence,
Est devenu la grande flamme prête à ravager,
Le coeur des Hommes et ce qu'il a aménager.


Amour perdus,

Elle n'est plus que l'ombre,
Il n'est plus que la lumière,
L'une dans les ronces,
L'autre dans les fougères.

Elle a les yeux bleus,
Il a les yeux vert,
Les yeux amoureux
Les yeux revolver

Elle voulait y croire
Il n'y pensait plus,
A ces derniers espoirs
Totalement perdus....

Voilà, deux poèmes assez différents! ^^

J'aime bien ton deuxième poème ! ^^
Bonne continuation :3

Merci! ^^