Une balade interrompue

date d'inscription : 09/04/2012

Avant toute chose il fallait que je me calme. Il fallait que je respire normalement, que je me conduise comme quelqu'un de tout à fait à son aise dans les endroits où les nouvelles têtes coulaient à flots... J'ai couru, je m'étais enfouie, j'étais parti me réfugier dehors là où l'air et frais et abondant. Il fallait que je réfléchisses à l'air pure, que je me pose les bonnes questions, que je pèse le pour et le contre, que je me convaincs que j'ai prit la bonne décision. La décision de m'intégrer de nouveau dans une communauté, de refaire parti d'un groupe, de ne plus être qu'un déchet (à moins que...) qui va de ville en ville et de pays en pays pour une cause perdue... Je devais reprendre par avec la réalité et au monde qui m'entourait (en l’occurrence l'académie que j'avais décidé d'inclure dans ma liste d'hôtels fréquentés). Mais là c'est différent, je veux mis installer, je veux mis faire de ami(e)s, créer des liens. Des liens que je n'ai jamais eu jusqu'à maintenant. Je ne veux plus être seule, ça commence à être insupportable...
Je marchais lentement alors que mon cerveau allait exploser. Je finis donc par m'asseoir dans l'herbe douce de la prairie. Le panorama était saisissant mais rien ne m’intéressais plus que mes éternelles questions.
J'étais en pleine réflexion quand quelque chose me tomba dessus. J'étais tellement absorbée par le fil de mes pensées que je n'avait pas fait attention à l'endroit où mes fesses avaient élu domicile pour quelques temps. J'étais sous un grand chêne qui me jetait ses glands sur la tête (pas très sympa pour quelqu'un qui est censé être sage = grand-mère feuillage dans Pocahonntas, je sais même si dans Pocahontas c'est un sol pleureur). Quel bel arbre tout de même, majestueux et fort (même s'il est un peu méchant de me martyriser la tête). Encore une fois je me perdis dans la contemplation des paysages magnifiques qui entouraient cette académie accueillante.
Je me disais que quand je serais plus grande je devrais m'acheter une maison avec un jardin, quand (pour la deuxième fois tout de même!) quelque chose me tomba sur la tête. J'étais prête à partir pour m'éloigner de ces méchants glands quand quelqu'un me serra le bras, et s'exclama :
-"Oh pardon, je ne t'ai pas fait mal?"

date d'inscription : 16/04/2012

Dans l'ignorance de ce qu'il se passait au tour de moi, profondément dans mon méchant cauchemar j'était poursuivie pas l'un de ces monstre Gluant qu'on ne trouve nul par ailleurs que dans la plus sombre de mon imagination. Je me suis réveillais en sur-saut et puis j'ai courus je ne savais pas ou aller ni ou je vais tout ce que je savais c'était que je courais le reste ne m'intéresser pas. j'était poursuivie par le plus vilain des monstres qui ne voulais plus me laisser en paix j'ai beau savoir que les monstres n'existe pas, j'ai essayer tout les moyens pour m'en séparer... C'est affreux!!
Je courais dans n'importe qu'elle sens sans me soucier de se qui se passer autour de moi, dans quel sens j'allais droite, gauche, devant, derrière?
Je croix me souvenir que j'ai descendus les escaliers les plus long de toute l'académie en arrière. Ceux qui mène à la clairière eu aussi à reculons.
Je me suis cognée dans trois arbre au moins mais jamais dans une personne, personne n'était choqués de me voir courir si vite, peu-être suis-je encore dans l'un de mes rêve farfelus qui m'entraîne n'importe ou pour me faire croire n'importe quoi?!
Dans la clairière je me remis à marcher droit pour ne pas me cogner encore pour la quatrième fois dans l'un de ses poiriers qui sont plantés en plein milieu du chemin.
Mais je n'enlevais pas de ma petite mémoire l'idée que le monstre Gluant m'attrape par derrière donc je me mis à courir beaucoup plus vite et puis me vain l'idée soudaine que :
le méchant monstre qui me poursuis est collé au sol donc ça veux dire pour moi que je peux monter au arbre .
C'était pour moi la plus brillante de mes idées depuis mon existence, bon le prochain arbre que je voix je grimpe même s'il est plus petit que moi ou même si c'est l'un de ses poiriers que je déteste .
Ah en voila un, mais il y a quelqu'un qui est assis au pied de cet arbre. Trop tard pour reculer au moment venus je me suis agrippée à une de ses branche qui bougeais dans le vent. Je me suis réfugié tout en haut du chêne et regardais la personne qui était à ses pieds, elle ne semble rien avoir remarquer temps mieux. Je voulais me pencher pour voir qui était cette personne mais je me suis trop pencher et j'ai glissée sur une de ces branches remplie de glands. Malheureusement les glands ont tous glissés un par un.
Quelque un sont tombés sur la tête de la personne assise.Il était dans mon devoir de demander pardon.
Alors je descendit de l'arbre sans un bruit quand je vis que la personne s'en allait alors je les rattrapée comme il était bon de faire et je lui est dit très gentille-ment:
"Oh pardon, je ne t'ai pas fais mal?"
J'espère quelle ne m'en veux pas trop tout ça à cause des monstres gluants !! Ce n'est pas de m'a fautes s'il seraient restés chez eu rien ne ce serait passé! Mais j'ai remarquée qu'il ne sont plus la temps mieux après ce qu'il c'est passé ils n'ont plus intérêt à se montrer ...

date d'inscription : 09/04/2012

Je regardais la jeune fille aux chevaux roses qui m'avait pris le bras et demandé pardon. Je me demandais pourquoi elle me demandais pardon parce que ce n'était pas de sa faute si un chêne me fracassait la tête de ses maudits glands. Elle avait un air perdu et apeuré. Elle cherchait peut-être un moyen de fuir quelque chose ou juste la dure réalité qu'elle venait de vivre. Je lisais dans ses yeux la peur. Mais de quoi avait-elle peur? Pour le savoir je fis quelque chose que je n'aimais pas trop faire mais là je ne savais vraiment pas comment réagir face à cette fille. Je transposai mon esprit au sien et me connectai à ses pensées et ses souvenirs du passé proche. Je vis les monstres, le monstre gluant. Je ressentis sa peur, sa respiration saccadée lors de sa course. Je vis l'arbre, je me vis assise à son pied. Je vis les glands tomber sur ma tête, je me regardai me lever, je ressentis son remord et je l'écoutai me demander pardon. Après l'épisode en accéléré, je me déconnectai de son esprit et retournai dans le mien, dans mon corps.
- Ne t'inquiète pas ce n'est pas grave. A près tout ces glands n'ont qu'a tenir sur leur branche! Tu avais peur et tu ne savais pas quoi faire. Ce n'est pas grave. Et puis ce que tu as vu était vraiment horrible, j'aurais fait la même chose à ta place. T'en pis pour ceux dans dessus, ils n'ont cas pas être là.
Je lui fis un sourire pour qu'elle se détende un peu mais elle se crispait de plus en plus. Mais pourquoi lui avais-je dis tout ça! J'aurais du juste dire merci au revoir et basta. Je lui faisais peur avec ce que je venais de dire. Comment faire pour se faire une amie alors que vous lui claquez dès la première rencontre ce qu'elle n'a pas envie d'entendre? Je n'étais vraiment pas douée pour les relations humaines mais bon tan pis. On ne me refera pas. Je la regardais me regarder puis elle ouvrit la bouche.

date d'inscription : 16/04/2012

Après lui avoir fait mes excuse, la jeune fille me fixais, je pouvais lire dans ses yeux ce qu'elle pensait : ce n'ai pas à elle de s'excuser mais chêne ou un truc comme ça.
Elle ne bougeait plus et me fixais comme un vampire qui veut vous sucer le sang.
Avec mon imagination débordant, et la stupidité qui était en moi je crus qu'il s'agissait la d'un vampire qui me regardait avant de se jeter sur moi.
J'étais apeurée et je me demandais pourquoi elle me fixais ainsi. j'avais peur certes mais elle aussi, elle était intimidée face à moi pourquoi? Malheureusement je ne peux le savoir, lire dans ses pensée? Il m'en est impossible, il n'y a que les fous qui peuvent le faire. Enfin bon je ne vais pas m'éterniser sur sa, je voulais partir mais il m'en était impossible je ne voulais plus détourner mon regard...
Je me sentit toute bizarre et elle me fixais et semblait se concentrait. Pendant un certain moment l'on resta comme sa, elle avait l'air comme morte. Mais à ma grande surprise elle ne bougeait plus pendant un certain temps mais moi j'étais comme ensorcelé.
Soudain elle semblait revenir à elle. Puis elle me dit:
Ne t'inquiète pas ce n'est pas grave. A près tout ces glands n'ont qu'a tenir sur leur branche! Tu avais peur et tu ne savais pas quoi faire. Ce n'est pas grave. Et puis ce que tu as vu était vraiment horrible, j'aurais fait la même chose à ta place. T'en pis pour ceux dans dessus, ils n'ont cas pas être là.
Beuh... Je tremblait elle me faisait très peur Comment le savait-elle. Puis après elle me lança un petit sourire mystèrieux.
Quoi? Et après sa elle ose me sourire. Serait-elle comme ces gens qui lise dans les pensées ? Non, non non non impossible, mais alors comment? J'étais très intriguée à l'idée de lui avouer ce que je pensais d'elle et de lui dire mes craintes, alors je restais comme ça devant elle sans lui adresser une seule parole, j'étais trop terrorifiée pour cela, mais dans un autre sens elle me plaisais, et je ne pus me taire plus longtemps et j'étais obligée de lui parler de ce qui c'est passé
Alors je lui demanda:
Comment? enfin... comment peux-tu le savoir? Es-tu?
J'attendais impatiemment sa réponse serait-elle magicienne voyante, une fée ou juste une écolière comme les autres mais avec des visions ?
Puis plus rien elle ne bougeait. C'était comme ci qu'elle regrettais ce qu'elle venais de dire, et près un long moment d'attente elle dit...

date d'inscription : 09/04/2012

Elle me regardait comme si j’allais la manger, lui sauter dessus pour lui sucer le sang. Elle me prenait pour un vampire ou quoi ? Je fais vraiment si peur que ça ? Mes canines sont trop grandes c’est ça? J’en étais sure, j’aurais dû me les faire limer quand j’en avais eu l’occasion (j’ai un complexe dentaire, faut pas s’inquiéter). Je sentais qu’elle voulait se dégager de mon étreinte (je lui avais pris le bras pour créer le lien entre elle et moi, pour avoir accès à son esprit). Mais pourquoi ne le faisait-elle pas ? Je ne serrais pas comme un monstre pourtant. Elle tremblée, elle avait peur, elle était terrorisée par mon pouvoir. Je n’y pouvais rien si je l’avais, ce maudit pouvoir. Je ne l’ai pas choisi (cependant il mettait très utile dans certaines circonstances). Que faire pour la mettre un peu plus en confiance ? Quand je lui avais souris, j’avais fait pire que mieux, et elle avait semblé offusquée (c’est noté, plus faire de sourire pour détendre l’atmosphère). Elle devait me prendre pour un de ses fous qui lisent dans les pensées, mais ce n’était pas pareil. C’est complètement différent. M’enfin, ce sera encore quelqu’un à ajouter à la liste de ceux qui ont peur de moi (la liste roulait déjà sur plusieurs kilomètres, je pense que je vais devoir encore investir dans de nouveaux cylindres…). Elle paraissait en débat avec elle-même, mais je m’interdis d’aller voir ce qu’il se passait dans son esprit. Elle ouvrit bouche et bredouilla :
- Comment ? Enfin… comment peux-tu le savoir ? Es-tu… ?
Elle me faisait rire, je voyais bien qu’elle tremblait d’horreur face à moi mais elle avait quand même eût le cran de me demander ce que j’étais. Je l’aimais bien cette petite, elle en avait dans le pantalon. Je pesais le pour et le contre pour savoir ce que j’allais lui dire. Vérité ou mensonge ou un peu des deux ? Avait-elle assez d’esprit pour comprendre, ou était-elle trop fragile pour supporter la réalité ? Elle m’avait l’air décidée. Que faire ? Ce n’était pas l’heure de regretter ses paroles. Je devais réagir. Pourquoi ne pas jouer la salle garce ? Non ce n’était pas mon genre, même pour me protéger et cacher ce qui est à oublier. Je commençai par lui lâcher le bras, passai une main dans mes cheveux pour les remettre en place, puis, les cachai dans mes poches.
- Je pense que ce serait mieux si tu faisais semblant de n’avoir rien entendu…Mais j’ai bien l’impression que ce n’est pas dans ton tempérament. Tant pis pour moi, ça m’apprendra à être trop bavarde. Bon… Je vais te dire quelque chose qui doit rester entre nous, d’accord ? Alors premièrement je suis désolée de te décevoir ou contente de te rassurer mais je ne suis pas un vampire…à mon grand regret. Je ne vais donc pas te sauter dessus et te sucer le sang jusqu’à la dernière goute. Deuxièmement je ne lis pas dans les pensées, je ne t’espionne pas, je ne vois pas tout ce qui se passe dans l’académie, je n’ai pas de visions ou des trucs du genre. Troisièmement je fais partie de « ceux-qui-marchent ». Voilà mon secret à toi de le garder « secret », sinon je peux te promettre que tu ne me verras plus jamais de la même façon.
Je lui avais volontairement dit quelque chose qu’elle ne comprendrait pas, mais si cette information circulait dans l’académie et qu’un des professeurs avait quelques notions de croyance à la préhistoire, je pense qu’il ne me lâcherait plus de toutes ses questions. Mieux valais rester prudente tout de même. Je ne fis même pas attention à l’état physique et psychologique de la jeune fille devant moi que je lui posai en retour une question :
- Et toi, as-tu un secret à me confier ? Et peux-tu me dire ton prénom, qui est pour moi toujours un mystère ?
Je ne devais pas sourire en attendant sa réponse, sinon elle risquait de se buter et de ne pas me répondre. Alors je m’assis dans l’herbe fraiche de la prairie où je mettais enfoui pour être seule avec mes questions.

date d'inscription : 16/04/2012

Après se long silence, elle répondit enfin :
Bon… Je vais te dire quelque chose qui doit rester entre nous, d’accord ? Alors premièrement je suis désolée de te décevoir ou contente de te rassurer mais je ne suis pas un vampire…à mon grand regret. Je ne vais donc pas te sauter dessus et te sucer le sang jusqu’à la dernière goute. Deuxièmement je ne lis pas dans les pensées, je ne t’espionne pas, je ne vois pas tout ce qui se passe dans l’académie, je n’ai pas de visions ou des trucs du genre. Troisièmement je fais partie de « ceux-qui-marchent ». Voilà mon secret à toi de le garder « secret », sinon je peux te promettre que tu ne me verras plus jamais de la même façon.
Elle venais de dire quelque chose que je ne comprenait pas,
j'étais bien évidemment très choquée et puis comme ci rien ne c'était passé elle ... Et bien elle elle reprit la conversation
- Et toi, as-tu un secret à me confier ? Et peux-tu me dire ton prénom, qui est pour moi toujours un mystère ?
Elle ne souriait pas du tout pourquoi ? Je ne comprend pas du tout, était-elle gentille ou bien méchante? Comme elle avait mit du temps à répondre, moi aussi! je pris un air de tranquillité pour montré que je n'avais pas du tout peur d'elle ( même si c'est le contraire)
Je ne comprend rien, absolument rien, donc je vais te dire ce que je pense, tu ne me fais pas du tout peur (l'inverse). Faisons semblait de ne pas se connaître ok? Comme si rien ne c'était passé, reprenons de la ou je t'ai fait mais excuse tu veux bien? Après on repartira chacune de notre côté? Bon..
Peutr être avais-je été trop méchante, peut-être que je l'avais vexée? Bon ... Moi je ne suis pas comme elle moi! Je ne lis pas dans les pensée des autres je ne me mêle pas des affaires des autres ! Je fais que ce qui me regarde! ( Je dit sa mais c'est vrais que si je pouvais lire dans les pensée je ferait peut-être...)
Je repris pour ne pas trop l'ennuyer ce que je devais faire, me re-excuser pour arrêter après et continuer mon chemin:
"Oh pardon, je ne t'ai pas fais mal?"
Puis moi aussi je fis comme elle je ne souriait pas du tout je la regardais fixement et j'attendais de sa part un " Ce n'est pas la peine, merci comme même, au revoir" mais au lieu de sa elle dit :
Pardon?
Quoi pardon? qu'est ce qui la trouble? Alors moi aussi je fis pareil vu que je n'avais pas compris et ba moi aussi je dit
Pardon?
Et la elle fut plus choquée qu'autre chose bon moi je part ...

date d'inscription : 09/04/2012

- Je ne comprends rien, absolument rien, donc je vais te dire ce que je pense : tu ne me fais pas du tout peur (l'inverse). Faisons semblant de ne pas se connaître ok? Comme si rien ne c'était passé, reprenons de là où je te fais mes excuses tu veux bien? Après on repartira chacune de notre côté? Bon…
J’étais comment dire… carrément sur le cul. Que venait-elle de me dire ? Qu’elle s’en foutait de moi, en gros, non ? Eh bien, qu’elle caractère ! Une gamine aussi frêle mais avec un caractère aussi bien forgé, gagnerait forcément dans la vie. C’était une évidence. Elle ne se laisserait jamais marcher sur les pieds et cela était une bonne chose pour elle, mais on ne marche pas sur les miens ! Non mais dit donc ! Je ne suis pas si cassante et je ne me plis pas à la volonté de chacun pour son bon plaisir, malgré les apparences. Qui sont très souvent trompeuses d’ailleurs. Je suis ni en sucre ni en papier, et je n’ai pas un morale de guimauve !
- "Oh pardon, je ne t'ai pas fait mal?"
Je n’ai même pas eu le temps d’organiser mes pensées et de lui répondre que nous retournions déjà en arrière, comme elle le souhaitait. Non mais je ne vais pas me laisser faire ma petite ! Je cherchais mes mots pour lui faire comprendre mon mécontentement mais j’étais captivée par ce qui se passait derrière elle. Quelque chose bougé, je ne savais pas ce que c’était, je n’arrivais pas à identifier son visage. Puis il disparu après avoir posé quelque chose par terre. Mais que faisait-il ? Et qui était-il ? En attendant la jeune fille, s’impatienta un peu en face de moi. Je ne sus qu’articuler un :
- Pardon?
Elle sembla un peu déstabilisée par ma réponse mais se reprit très vite pour me redire :
- Pardon?
Elle me regarda une dernière fois et partit. Je me relevai vivement pour lui dire que quelqu’un avait posé quelque chose dans l’herbe, juste derrière elle, quand, à cet instant précis, quelque chose de froid me serra le cou. Elle m’étouffait en m’écrasant contre le chêne. Jetais incapable de bouger. Je suffoquais, je ne pouvais plus respirer. Je me trouvais complètement scotchée par une chaine au cou à ce maudit chêne. Une chaîne ?! Oh non, je vous en supplie, pas ça !! Ça ne peut pas recommencer. Pas de chaînes, j’avais déjà tout cédé pour l’une d’elle. Elle m’avait laissé de magnifiques souvenirs sur le cou, les poignets, les hanches… De très, très mauvais souvenirs que je refoulais systématiquement au plus profond de moi.
La fille s’était retournée avec le tintement macabre des chaînes, qui étaient juste sur le point de me tuer. Rien de bien méchant, non. Elle me regardait, comme si je jouais la comédie et que je n’assumais pas mon humiliation. Elle ne voyait pas les chaînes ?? J’en avais la malheureuse impression, oui… Mais elle les avait bien entendu non ? Pourquoi ne pouvait-elle pas les voir ? J’étais en train d’halluciner, de faire un mauvais rêve tout simplement. J’allais me réveiller dans la baignoire. Mais non c’était bien la réalité… J’allais mourir étouffée par des chaînes, dont je ne savais même pas qui en tirait les bouts. Ce qui commence avec des chaînes doit finir avec celles-ci, n’est ce pas ? De toute façon j’aurais dus déjà mourir par leur froideur et leur acier rouillé. Je n’avais plus d’air… Ma vie défila devant mes yeux. Pas très jolie tout ça. Des pleurs, du sang, des chaînes, des tortures, des malheureux accidents programmés, la folie, un hôpital psychiatrique, une mort plus que désastreuse, et une académie dont je ne pourrais pas connaître les pensionnaires. Je n’avais qu’un bon souvenir. Celui du sourire de ma meilleure amie. La seule de toute façon. C’est elle qui avait rempli les papiers pour que je rentre dans cette école. Nous avions tout fait ensemble, absolument tout. Et le regret qui me fendit le cœur, sur l’article de la mort, c’est de ne jamais l’avoir remerciée. Ne jamais lui avoir dit que je l’aimais plus que tout. Que c’était grâce à elle si je vivais encore. C’était parce qu’elle ne m’avait jamais lâché que j’avais le caractère que j’avais aujourd’hui. Elle m’avait donné l’occasion de renaitre. Elle m’avait offert une seconde vie. Et je ne lui avais jamais dit à quel point elle comptait pour moi. Elle avait joué le rôle de mon ange gardien jusqu’au bout. Dieu sait que j’aimerais lui rendre tout le temps qu’elle a passé à s’occuper de moi et non d’elle. Des larmes coulèrent sur mes joies rouges. Je pleurais. Mon dernier moment sur cette Terre, je le vis à travers mes larmes et le vécu avec le poignard de la tristesse enfoncé profondément dans le cœur. Puis je sombra dans les ténèbres….

date d'inscription : 16/04/2012

Je fit mine de m'enfuir pour ne pas l'impliquer dans mon histoire. Elle, bah elle elle ne comprenait rien tout comme moi quoi. Je partit et elle je pense, et restée assise mais quelqu'un sa releva vivement, c'était elle pourquoi me suit t'elle, ai-je était si méchante que sa, je me sentait un peu honteuse et je le devais, je venais de rencontrer quelqu'un et à ma rencontre lui dire des choses méchantes? Franchement je n'était bonne à rien, parler comme ça, j'avais malheureusement beaucoup de remord, si je pouvais remonter le temps jusqu'au moment où je fus suivit par les monstres. Mais c'est impossible. Et puis pourquoi me suis t'elle, pour me dire qu'elle avait lut dans mes pensées et qu'elle avait vus ce que je pensait? Moi ça m'étais complètement égale, cette fille me fait très peur à dire vraie, très très très peur. Ma première rencontre et il fallait que ce soit une sorcière qui lit dans les pensées ou je ne sais quoi?
Je fit un pas et puis quelque chose bougea étrange? Quelque chose qui rampait dans l'herbe tout de suite ma première réaction fut :
UN SERPENT AHAHA
J'ai une peur bleu des serpent et le simple faîte d'avoir entendue cette chose ramper m'avais fait très froid dans le dos. Je m’agitais dans tous les sens. La fille derrière moi devait me prendre pour une folle, olala qu'elle trouillarde je fais franchement, il y a pas à dire je suis vraiment la risée de tous les élèves.
Et c'est la que j'ai eu un petit HIC qui m'est sortit de la tête quand elle m'avait dit:
- Et toi, as-tu un secret à me confier ? Et peux-tu me dire ton prénom, qui est pour moi toujours un mystère ?
Par politesse, il fallait que je lui réponde je réfléchissait. Pour le nom simple mais le secret , je n'en ai vraiment pas aucun secret pourquoi voulait-elle savoir, elle ne m'en à même pas dit elle à juste répondue à ma question, alors pourquoi devais-je lui en confier un?
J'ai raison non?
Il y avait toute sorte de chose que je ne connaissais pas dans ce monde si mystèrieux, mais je peux vous garantir que je viens de découvrir, les sorcière qui lise dans vos pensées, effrayant? C'est maintenant que vous vous en rendez compte? Depuis au moins 20 minutes que je suis sous l'emprise de celle-ci et c'est maintenant que vous dîtes qu'elle fait peur... Je ne vais pas rester ici toute ma vie, alors j'ai pris l'initiative de lui dire mon prénom et de partir en courant avant qu'elle me dise:
Enchantée de te connaître
Où un autre de c'est truc sorcière. Pourquoi est-elle encore en train de faire des truc bizare ou plutôt des truc sorcière!! Elle était la clouée à l'arbre toute rouge et elle se tenait la gorge, à quoi joue t-elle, si c'est pour m'effrayer, C'EST RÉUSSI. Elle ferma les yeux ( elle est vraiment très bizzarre) ne comprenait-elle pas qu'elle avait assez abusé de moi et qu'il était temps d'arrêter?
Je me rapprochais d'elle et toucha son coeur misère, ELLE NE RESPIRE PLUUUUUUUUUUUS que faire appeler faire du bouche à bouche lui donner des claque pour la réanimer? Je suis vraiment perdue., si sa se trouve ce sont des démons qui se s'en en n'ai prit à elle, peut-être que c'est la guerre démons contre sorcière? BRRR pas le temps de réfléchir à des trucs stupides. Mais peut-être que les secours vont m'accuser de son meurtre alors ce sera la fin de moi. RHHAA tanpis je ne peux pas la laisser la même si sa me fond le coeur de devoir la traîner jusqu'au hall. Je la pris par les pieds et je la traîna de toute mes forces... ZUT quelqu'un se promène. Non, je suis repairée, misère. Il n'y à que des choses à ne pas faire qui résonne dans ma tête.
Il n'y à vraiment que moi et mon imaginations débordante pour prendre une sorcière part les pieds ( même si je n'avait pas le choix) qui a était tuée par des démons dans une guerre acharnée... Cette personne se dirigea vers nous enfin moi, vus que pour l'instant j'ai un cadavre sous les mains !!!
Mais je rêve, nan je ne rêve pas C'est la mère de la fille!!! AHAH elle va me tuer...

date d'inscription : 16/09/2011

Tomohiko se promenait dans la clairière quand il vit soudain au loin de jeunes filles, l’une d’elles était inconsciente dans les bras de la deuxième. N’avait-elle pas eu l’idée d’appeler de l’aide ? Mais cette jeune fille regardait bêtement devant elle. Il s’approcha d’elle, l’une de ces filles était sa princesse. Allongée sur le sol. Il jeta un regard noir à la deuxième jeune fille. Pourquoi n’avait-elle prévenue personne. Il tenta de sentir son pou, en vint. Son cœur ne battait plus. Il écarta la jeune fille. Il lui fit tous ce qu’il pouvait, des massages cardiaques, etc… Mais aucun résultat. Bon sang ! Mais pourquoi ce genre de truc lui arrive qu’à lui. Il avait déjà perdue ses parents, il ne voulut plus rien perdre .
Dans sa tête circulait des images. Non, plus jamais ça n’arriverai. Il ouvrit les yeux à la présumer morte. Il semblait rester un espoir. Tomo commença à lui parler, à l’encourager pour qu’elle revienne parmi eux. Que son heure n’était pas venue.
Que dans cinquante ans si elle veut, elle pourra partir mais pas maintenant.
Il commença même à paraitre ridicule. Le corps ne bougea pas. Rien, aucun signe de vie .
Il laissa couler une larme. Il ne voulait pas perdre sa princesse. Il ne la connaissait pas forcément très bien, mais il voulait la protéger, au péril de sa propre vie.
Depuis leurs première rencontre, durant la nuit dans le parc, jusqu’à leurs mort…
Quand la larme effleura le visage de la belle. Elle clignota des paupières. Il se ressaisit et continua à lui parlait tout en la serrant dans ces bras. Il tourna la tête pour voir la deuxième fille.
« - Occupe-toi d’elle. Elle va se réveiller… »
Il avait était comme appeler par sa princesse, comme un appelle de détresse qu’il à reçut d’un coup. Il lui déposa un baiser sur le front. Avant de la confiait à l’autre fille.
Il voyait Nownka comme sa petite sœur. Une sœur qu’il n’a jamais eu. Il s’éloigna au moment où la jeune fille se reveilla.

HRP: Tu vois Nownka je t'avais promis que je viendrai te sauver

date d'inscription : 16/04/2012

Au bout d'un moment je n'en pouvais plus... Je n'étais pas assez musclé pour encore la ramener jusqu'à l'établissement. Je dut rester à côté d'elle mais par-terre . Je lui toucha encore une fois le coeur, rien. c'est perdue et c'est de ma faute. Je ne l'a connais même pas qu'elle pétrin... Je voulus enfin aller chercher de l'aide mais avant que j'ai pu en demander elle arriva. C'était un garçon malheurs, ... Je n'arriverai pas à lui expliquer la situation autre qu'avec des bégaiements. Il s'approchait en courant de plus en plus.
C'était peut-être un démons qui chercher à mieux la tuer... Alors je la prie encore et avança mais je n'en pouvait plus! Je m'assis alors à côté d'elle. Et appela à l'aide avec des hoquets de tristesse! La personne arriva enfin .
Elle ne semblait lui vouloir aucun mal !! D'un coup dans le ventre le garçon m'écarta de la jeune fille inanimée. Il s'assit au près d'elle et toucha son coeur. Rien toujours rien, en bref j'écartas l'idée du démon assassin ( qu'elle idée ridicule ) Il lui fit pendant un long moment des massages cardiaques, et moi bêtement... Bah je me taisais , je regardais la scène avec désespoir! Il comprit que sa ne servait à rien. Il lui ouvrit les yeux mais encore et toujours rien. Pourtant sa semblait lui donner le sourire (était-il pour la mort de la jeune fille ?)
La je compris que sa ne servais à rien tous ces espoirs !! Elle était bel et bien morte, ces cheveux blanc lui traîner sur le visage. Le garçon, alors commença à pleurer c'était bien la première fois que je vis un garçon pleurait. J'imortalisa cette image dans ma toute petite mémoire juste assez grande pour y contenir beaucoup de malheurs. Les larmes du jeunes hommes me fit pleurer à mon tour. Je ferma les yeux et pensa que ma première journée dans cette établissement aller paraître et laisser l'image d'un décet. Je mis mes mains sur mon visage et ferma les yeux longtemps. Je ne voyais même pas ce qui ce passait les mains sur les yeux pour ne pas voir ce cadavre dont je ne connaissais même pas les cause de la mort. Qui pourtant était rester avec moi tout le début d'après-midi. Franchement qu'elle désastre. Puis après un long moment. Je retira mes mains de mes yeux. Le garçon qui avait sécher toutes ces larmes me murmura:

« - Occupe-toi d’elle. Elle va se réveiller… »
Je devais avoir une tête affreuse avec mes joues rouges et mes larmes qui partaient en tous sens. Il partit. Comment pourrait-elle se réveiller alors qu'elle est morte ?
Je m'assis encore une fois et me mit en tête de partir à tout jamais une fois que la police me demanderai des renseignement. Je la regardai attentivement quand ses paupières commencèrent à bouger faiblement. Je rêve? Et bien non, elle est revenue à la vie comme par magie. Je devais avoir loupé quelque chose. Elle était encore trop faible pour parler. Elle essayait tout de même de communiquer. Moi, mes pensées affreuse partie et les nouvelles remplies de joie, je lui dit alors:

Comment tu te sens ?
Elle ne put répondre et se rendormit comme emportée par la fatigue. Alors j'alla chercher une infirmière qui envoya des personnes pour la ramenai à l'infirmerie. Bien entendue je n'avait dit aucun mot du miracle qui c'était passé. Elle se réveilla après une bonne demi heure d'attente. Je vis par la fenêtre de l'infirmerie le garçon de tout à l'heure qui pleurait. Il semblait s’inquiéter lui aussi

date d'inscription : 09/04/2012

Je tombais. Toujours je tombais, dans le noir le plus total. Je suis seule dans l’obscurité à tomber, encore et toujours. Pourtant je n’avais pas voulu quitter la scène du théâtre de la vie, où j’occupe cependant le premier rôle d’une tragédie bien grotesque. J’avais arrêté de crier puisse que cela faisait au moins quelques heures que je tombais sans toucher le fond. Tel était mon destin, tel était le chemin qui se dessinait devant moi. Je devais payer pour toutes les erreurs de ma famille (et Dieu sait qu’il y en a un beau gros paquet).

Quand ma chute folle s’arrêtera, je m’écraserai contre le fond de mon âme, contre le fond des ténèbres, des abisses… Quand j’arrêterais de tomber (si tant est que ce moment existe), je serais certaine que je ne pourrais plus jamais penser, parler, crier, regarder, sourire, rire, écouter, toucher, frôler, marcher, courir, souffler, chevaucher, travailler, danser … Je ne serai plus consciente de rien, et je ne me souviendrais plus des gens que j’aime. Même si je n’en ai pas beaucoup, il est toujours plus agréable de mourir le sourire aux lèvres.

Mais en attendant, je ne pensais qu’à une chose : MOURIR réellement, et ne plus être entre deux états et deux mondes. Je voulais juste partir et ne plus exister physiquement et mentalement. Je souhaitais disparaître purement et simplement. Comme ma famille avait pu se faufiler à travers l’histoire, et ne pas laisser la moindre trace de leurs aventures. Pourquoi devais-je subir ça ? Car je n’avais pas pu éviter la mort de mes frères ? Parce qu’il était mort avant que je ne puisse le retrouver ? Pourtant j’avais tout fait pour le retrouver au plus vite, mais je n’ai pu voir qu’une pierre tombale, froide et inexpressive. Combien de temps étais-je restée là, devant, à la contempler en me disant que je mettais trompé de personne, et que mon grand frère était toujours en vie, quelque part ! Combien de temps étais-je restée là, dessus, à pleurer toutes les larmes qui restées dans mon pauvre corps, meurtri de douleurs ?

« - Cloud…. Oh, Cloud… Je suis désolée, je n’ai pas pu arriver à temps… Comme je suis désolée… Tu ne peux pas t’imaginer… »

Mes yeux commencèrent à piquer (déjà que je ne voyais pas grand-chose mais alors là ! Je n’allais plus rien voir du tout !), et des gouttes se mirent en suspension tout autour de moi (oui, il ne faut pas oublier que je suis toujours en train de tomber). Des petites boules d’eau liquide se baladaient tout autour de mon corps secoué par les sanglots. Ça y est, je craquais.

« -Non mais qui ma fichu une gamine aussi pleurnicharde ! »

Quoi ? Je rêvais ? Quelqu’un venait de parler ou ce n’était que le fruit de mon imagination ? Je ne sais pas, je ne suis plus… Suis-je dans la réalité ou dans une fiction ? Je suis où ? Sur la terre, dans le ciel… Au fin fond d’un océan !? Oui ça devait être ça, dans l’abime de l’eau salée. J’étais en robe ? Une robe blanche qui scintillait. D’accord, ok, scintillait pourquoi pas, après tout, tout est permis, mais comment ? Il n’y a aucune lumière !! J’étais comme une grosse luciole, avec une robe qui volait en tous sens.

« -Et en plus il faut lui acheter des lunettes… »

Quoi ? Encore cette voix ? Mais qui étais ce ? Et d’où venait-elle ? Étais je folle, oui surement ! Je me retournais de tous les côtés pour voir si quelqu’un était posté dans cet environnement, plutôt … intriguant. Je me tortillée dans tous les sens et je ne réussis qu’à me faire mal au cou.

« - Quelle empotée, j’vous jure… Elle ne sait même pas regarder devant elle ! »

Elle commencer vraiment à m’agacer cette voix masculine, qui se foutait vraiment de ma tronche ! Et là, j’eus le reflexe, j’ouvris les yeux… Oui j’avais oubliais de les ouvrir dans ma précipitation… Oh, ça va ! Je suis un peu ailleurs ces dernières 24 heures. Disons donc, j’ouvris les yeux, et je fus éblouie par un magnifique loup blanc aux yeux d’un rouge sanglant et profond. C’était lui qui me parlait ? Un loup splendide ??
Ces yeux, ce regard, je les connaissais…. Ils étaient si tristes malgré la nette colère qu’ils renvoyaient. Ce rouge si sombre, ce rouge sang….

« Maintenant que tu me vois, dis-moi si tu veux vivre ou non ? »

Quelle question ! Étrange, mais il me fallut une réflexion avant de me décider. Cependant, il était déjà trop tard. Mon corps s’écrasa contre un sol invisible. Je m’étais arrêté de tomber, de penser, de voir le loup. Seul l’écho de sa voix me revenait.

« …courage… Ton heure… n’est pas encore venue !... »

La sensation qu’une larme me coula sur la joue, me fit refaire surface. Je voulu ouvrir les yeux pour voir qui était le propriétaire de cette voix, la voix du loup. Même si j’avais déjà mon idée sur la personne. Rien ni fit, mes yeux restèrent clos. Des bras m’étreignirent, me serraient contre un torse quelque peu musclé.

« Occupe…d’elle…réveiller… »

Encore cette voix douce et masculine. Encore cette voix qui venait sans cesse à mon aide, et me guidait. Je voulu absolument parler, mais là aussi, ma bouche resta close. Des sanglots me parvinrent d’un monde qui me sembla très lointain.

« Comment te sens-tu ? »

J’avais entendu et compris toute la phrase. Je revenais parmi les vivants. Je faisais mon « come-back » à l’écran. Je cherchais quoi répondre, mais le sommeil et la fatigue me submergèrent, et m’emportèrent dans le pays des songes. Où je dus rester un bon moment, vu la tête des infirmières.

» Le chat bleu se balade

Une balade interrompue

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